Alors que nous traversons une crise – d’une ampleur inédite dans l’histoire contemporaine – qui ébranle l’ensemble de notre société, un nombre grandissant de Val-de-Marnais.es sont convaincu.e.s que l’écologie doit imprégner et orienter chaque pan de nos politiques publiques.
Le département, un maillon essentiel
Héritage de la révolution française, échelon institutionnel à la fois important et de taille humaine, le département n’en joue pas moins un rôle déterminant dans nos vies quotidiennes, qu’il s’agisse de solidarité avec le RSA, de vulnérabilité avec le secteur médico-social du grand âge ou du handicap, d’éducation avec les collèges ou bien encore d’écologie avec la voirie dont les Coronapistes.
Ainsi, face aux régressions portées tant par Emmanuel Macron que par la droite, le département doit plus que jamais être l’échelon de proximité citoyenne.
Cela, la droite l’a bien compris ! En effet, déjà à la tête de la métropole, de la région et d’une majorité de départements franciliens, cette dernière entend faire tomber les derniers espaces de progrès pour appliquer ses politiques libérales. Voilà l’enjeu auquel le Val-de-Marne, « réfractaire » depuis 1968 (beau millésime pour l’émancipation !), doit faire face.
Notre ambition pour le Val-de-Marne
Pour le département, notre ambition est claire : combattre activement le dérèglement climatique, l’érosion du vivant et la dégradation des conditions de vie des habitant.e.s ; bâtir un avenir aussi bien durable qu’enviable. Résister, proposer, avancer.
Il est alors urgent d’accélérer la transition écologique au sein des territoires val-de-marnais dans leur diversité.
- En apportant une sécurité financière pour les plus fragiles
- En assurant un égal accès à la culture pour chacun.e, cette dernière n’étant ni un « produit » ni « non essentielle »
- En faisant des collèges le lieu privilégié d’une transformation vers un mode de vie plus sobre par : une restauration scolaire plus saine et de qualité, des activités d’éducation axées sur l’écologie, la connaissance du vivant et une action sur le bâti des collèges existants.
- En favorisant un aménagement complémentaire, prenant en compte les spécificités de chaque territoire, urbain comme agricole, avec une attention particulière portée à l’épanouissement de la biodiversité.
- En partageant plus équitablement la voirie en faveur des mobilités actives et collectives.
Cette union, qu’il convient de construire, les écologistes y prendront toute leur part avec des candidat.es EELV dans le plus de cantons possibles.
Démontrons ensemble que demain, un département alliant progrès, justice sociale et justice climatique est possible.
Porte-paroles EELV 94 : Céline Vercelloni et David Cousy